Nous avons monté des groupes de soutien des pratiques d’éveil matinales, de manière à permettre à ceux qui participent à nos programmes de Boost NRGy, de se sentir épaules et stimulés.
Ci-dessous, vous trouverez des témoignages d’expériences réussies et aussi de difficultés rencontrées.
Le processus de débriefing des pratiques d’éveil
On propose la forme de 5 minutes par personne, avec deux questions (qui changent de semaine en semaine) :
- ce qui m’a plu cette semaine, ce que je vais tester la semaine prochaine
- ou bien : ce que j’ai fait et ce dont j’aurais besoin pour faire encore mieux
- ou encore : en quoi ces routines me font progresser dans le reste de ma vie ?
- quelle découverte singulière j’ai faite cette semaine grâce à mes routines, et qu’ai-je envie d’explorer plus avant la semaine prochaine ?
- Etc…
- Trente minutes c’est rapide, et c’est bien qu’il en soit ainsi
- Sympa d’entendre les idées des autres, cela inspire pour soi-même, c’est stimulant de se sentir pris dans un mouvement d’ensemble
- Bonne idée pour ceux qui sont absents d’envoyer leurs débrief par mail à l’avance (comme Marie Claire l’a fait, c’était super)
- Préciser qu’il faut commencer par « vider » l’inutile, ne serait-ce que pour pouvoir caser cette demi-heure quotidienne.
- Le cahier NRGY à remplir avec les objectifs et le reporting est un vrai plus.
Idées de pratiques d’éveil matinales
- Faire des exercices avec les yeux depuis mon lit avant de me lever
- Faire les auto-massages des mains avant de me lever, c’est agréable
- Je fais la posture de l’arbre sous la douche d’eau chaude, ça m’ancre
- Le verre d’eau en conscience à jeun (améliore mon transit intestinal)
- Je me souris devant la glace, ça m’aide à être plus léger, moins « grave »
- Quand je médite 10’, je laisse passer les pensées… et cela me recentre
- Le matin je m’étire dans mon lit, avant de m’asseoir, j’écoute les bruits…
Les effets positifs des pratiques d’éveil
- Les pratiques d’éveil matinales de santé sont une extraordinaire façon de bien commencer ses journées.
- Depuis que je m’y suis mis, je me sens en meilleure énergie
- Et ça m’a fait énormément de bien. Je me sens décrassé.
- Je constate que je garde un bon niveau d’énergie, alors que je supporte une grosse charge de travail. Et malgré tout je reste en forme et en maîtrise. en plus, j’ai le plaisir de manipuler de jolis carnets (j’adore)… De façon plus perso : je réfléchis à partir de « la roue de la féminité » (« la puissance du féminin » de Camille Sfez). Du coup j’observe mes fonctionnements, mes variations d’énergie et d’envies… Très intéressant !
- J’ai ajouté de regarder la flamme d’une bougie vendredi soir (pas réussi à le faire dans la semaine) avec deux étapes :…. Cela m’a soulagé d’une certaine dose de charge mentale pour le WE. Je me suis vu avoir un défaut de positionnement dans la position de l’arbre. C’est en le faisant tous les jours que j’ai pu m’en apercevoir. Je me lève un peu plus tôt le matin pour pouvoir « caser » tout ça. Et ça vaut le coup, parce que l’énergie remonte.
- Pour moi, ces pratiques, matinales en particulier, sont une manière parmi d’autres de se préparer à la disponibilité requise par la journée intensive de management et de coaching. C’est une façon d’honorer ma vocation, en s’offrant soi-même, en tant que miroir le plus propre et clair possible. Voilà, c’est tout : c’est déjà énorme, mais cela ne va pas plus loin. D’ailleurs, dans une certaine perspective, il n’y a rien d’autre dans la vie, rien à rechercher, tout à accueillir…
- Les points hebdomadaires me font du bien. La semaine dernière, je n’ai pas pu me connecter mais je savais qu’il y avait ce rendez-vous. Je m’appuie sur le force du collectif. Il y a un état d’esprit qui infuse, au-delà des contenus des pratiques.
- Ces routines me font du bien, me défatiguent… Je teste, je trie, pour moi, pour me faire du bien… La mesure permanente me fatigue, mais faire les pratiques me plaît.
- Je mesure aussi des transformations plus sur le fond (comme la concentration dans la journée)
- J’avais vraiment besoin de récupérer de l’énergie
Témoignages de fond sur les pratiques d’éveil
- Regarder ses scores, c’est rigolo et c’est structurant
- Même quand ça va pas, j’ai au moins ça que je réussis, et ce rythme me soutient
- Quelque chose a changé, je me sens comme « décomplexé », j’ose davantage, je suis plus relax
- Je me suis mis des objectifs nutritionnels en plus des pratiques d’éveil matinales
- Je remplis mon cahier et même si certaines questions se répètent, je ne réponds pas la même chose. Et puis le soir je compte mes objectifs atteints et je fais mon score. Quand la note n’est pas bonne, je me récupère le lendemain.
- J’ai inclus la prière du matin dans mes pratiques d’éveil matinal
- Moi, je vais me promener 45’ avec mon chien
- Je contemple le grand arbre dans mon jardin depuis ma fenêtre, et cela me remplit de gratitude
- 5’ de cohérence cardiaque chaque matin
- Je fais du Qi Gong 10 minutes par jour sur YouTube avec une mamie
- Je tiens la position de l’arbre 2 à 3 minutes (mais je ne sais pas trop si je la fais bien)
- J’ai repris le footing du matin, en écoutant un podcast
- Moi j’écoute des podcasts inspirants en faisant la cuisine le soir
- C’est un travail de maîtrise de soi, goutte à goutte, mais en profondeur
Qu’en disent ceux qui débutent avec les routines matinales ?
- Je suis vraiment très contente de pouvoir participer pour la 1ère fois à ce point sur les pratiques d’éveil. Pour moi, les pratiques corporelles marchent bien (salutations au soleil, respirations devant m fenêtre) mais j’utilise aussi mon carnet personnel avec les affirmations positives, je pose une intention pour la journée, je définis les priorités du jour, et j’exprime ma gratitude pour mes réalisations de la veille. Là, je démarre mes journées dans le calme au lieu du rush, de la mise en route des enfants, etc…
- J’ai commencé ces routines au mois de janvier, en toute liberté. D’une manière générale, j’ai du mal avec les routines. Mais j’ai testé pas mal de choses. Dans le reporting par exemple, cela me permet de m’interroger pourquoi je ne fais pas certaines choses que j’ai pourtant décidées.
- J’ai essayé plusieurs pratiques d’éveil : des automassages, de la musculation, du Qi Gong, des call en marchant. J’apprends aussi à rester un peu au lit, en conscience du corps, alors que j’ai plutôt tendance à me lever directement et à démarrer tout de suite.
- Entendre tout ça me donne envie de me lancer moi aussi…
- Moi, ça m’impressionne, je suis admirative
- Moi, je m’applique à accueillir l’eau, quand je me douche ou quand je bois un verre au réveil. C’est une chose, qui est un « don », une chose extraordinaire…
Témoignages de satisfaction des pratiques d’éveil
- Pour ma part, je continue à faire tout ce qui me fait du bien. Et maintenant, après avoir testé plein de choses, Je filtre et ne garde que ce qui me correspond le mieux. Par exemple, le reporting positif me pèse, du coup je l’ai laissé de côté. Par contre j’ai testé le jeûne ce week-end. Je fais aussi le massage des mains et les exercices avec les yeux. Je bois deux verres d’eau en conscience, en y mettant de l’énergie. Je la mâchonne avant de l’avaler. Je dépose mon essentiel dans la flamme d’une bougie, qui danse à la recherche de l’équilibre. J’ai pu observer l’importance d’aérer la pièce dans laquelle je pratique mes exercices. Sentir la fraîcheur et la vie, ça participe de l’effet dynamisant des routines matinales.
- Je continue mes exercices avec les yeux le matin avant de me lever, cela me fait du bien, et j’ai bien l’intention de continuer, de même que le verre d’eau à jeun, et le massage des mains et le sourire devant la glace en me disant « tu peux compter sur soi, et moi je sais que je peux compter sur toi » ?.
- La comparaison aux autres ne compte pas… oui mais la question que je me pose depuis quelques jours : qu’est-ce que je voudrais que mes proches disent de moi et puis j’ai vite dérivé vers qu’est-ce que j’ai envie de leur donner ? Je saurai ce que je suis à partir de ce que disent les autres (= un doigt pointé vers ce que je suis). Dans ce cas-là, la comparaison c’est le miroir pour mieux se voir.
- Mais ce que disent les autres de toi, cela parle d’eux et non de toi… ils ne font que projeter sur autrui : “quand ils me voient, ils voient leur espoirs et leur détresse associés à moi, leurs propres exagérations et manques. Donc ce qu’ils voient parle plutôt d’eux”.
- On peut aussi travailler sur l’imaginaire : ce que l’on aimerait qu’on dise de moi permet aussi de me trouver.
- Un autre exercice est sur ce que tu veux voir rayonner de toi, ce que tu voir émaner de toi, sortir de toi… et pour le trouver, tu travailles en effet sur ce que tu voudrais qu’ils disent de toi… mais moins pour le fait qu’ils le disent que pour t’aider à voir comment rayonner comme tu le souhaites.
- Moi je fais un peu les deux versions, la dure et la soft :
- Courir à 5h30 et se baigner dans la mer froide : c’est revigorant.
- Et l’autre version, en accompagnant ma fille à la crèche, j’écoute des affirmations, je rends grâce, j’aime bien ça aussi…
- J’ai été vers des choses faciles, j’ai du mal à suivre les choses jusqu’au bout, donc j’ai opté pour la facilité, pour que ce ne soit pas une contrainte : le verre d’eau en conscience, j’aère mon bureau avant de m’y installer pour ouvrir l’espace. Je fais les étirements avec ma fille, en rigolant. Le sourire au miroir est moins agréable pour moi. Je me suis fait un carnet de reporting positif avec mes 3 fiertés de la veille et mes 3 priorités du jour. Je me mets une bonne musique sur ma terrasse quand le soleil se lève pour l’accueillir.
Pratiquer à deux les pratiques d’éveil
- Ce serait sympa de se trouver des routines à deux : comme marcher 20’ ensemble dans le quartier. Cela fait du bien à chacun et aux deux, même si c’est un truc tout simple. Intéressant d’imaginer quelque chose à faire avec les enfants aussi, mais en étant vraiment là,dans l’instant présent. Du coup, c’est vraiment très différent de ce qu’on fait, par exemple dans la vie pro.
- En faisant à deux, j’ai pu ajuster des trucs : elle m’a fait remarquer des choses que je n’aurais pas vu tout seul. Mon fils a eu l’idée d’une pratique plus simple, qui m’a convenu.
Le Qi Gong : pratiques énergétiques
- Le Qi gong est génial le matin : des mouvements doux, qui font puissamment circuler l’énergie.
- Cela m’aide à me remettre en conscience de mon corps
- La gratitude, je le fais plus volontiers le soir. Le QI Gong pour moi : c’est toujours dehors, ou bien je ne le fais pas, parce que j’ai besoin de ressentir un grand bol d’énergie autour de moi.
- Je pratique la posture de l’arbre sous la douche. Du coup c’est difficile d’ouvrir les bras très large. Mais les gouttes qui coulent m’aident à apprécier le moment. Je fais ça juste après la méditation au lit.
- Il y a un côté artistique à la pratique : C’est agréable et gratuit de sentir dans un corps libre, l’énergie qui circule bien partout, un souffle profond, un mental calme et lucide, un cœur ouvert et sensible. Ainsi, en respectant les principes du Qi Gong, c’est plaisant de se mettre en accord avec l’énergie montante du matin, en se rendant disponible pour jouer avec, la laisser s’accumuler dans les reins, la caresser à l’extérieur et la faire circuler mentalement dans le corps tout entier.
Difficultés rencontrées dans le cadre des pratiques d’éveil
- Je ressens le manque de méditation, je vais m’y remettre, en commençant par 10 minutes/jour. J’avais arrêté parce que je sentais les bénéfices, mais ils se sont évaporés en cessant la pratique. Surtout pour quelqu’un qui est signé de l’énergie de l’Air.
- Dernièrement, au lieu de démarrer par mes « routines toujours neuves et jamais routinières », j’ai eu l’inspiration d’écrire deux articles, puis j’ai dû prendre un appel et après j’avais une réunion… et c’était foutu pour ces pratiques.Si on ne commence pas par cela, c’est difficile ensuite de raccrocher les wagons. Pour autant, j’ai passé une bonne matinée et je ne regrette rien, pour ce matin-là. C’est aussi cette fantaisie qui procure un sentiment de liberté. Mais comme j’aime ces pratiques et leurs effets, nonobstant la petite marge de manœuvre que je m’octroie, je vois nettement qu’il faut que je commence mes journées avec elles, parce qu’après c’est trop tard…
- Un constat désagréable, c’est qu’en rentrant là-dedans, c’est que cela révèle d’autres choses, qui deviennent insatisfaisantes. Cela a un impact sur l’organisation du travail ou de la famille (ex : se réveiller plus tôt risque de réveiller les autres, ou un boss qui te colle un call à 8h parce qu’il y aurait crise)
- Quand on interrompt la mesure, c’est difficile de s’y remettre parce qu’on ne se souvient plus…
- Accepter un changement de paradigme au début. On fait les choses pour essayer et dans l’espoir d’en obtenir un bénéfice. Mais cela peut devenir un réflexe, une routine, décorellée d’objectifs
- Si ce rituel vient en plus de tout le reste : ça pèse sur les épaules ! Il faut voir ce que cela fait gagner en efficacité sur le reste
- Des recherches ont démontré que la pratique des 3 kifs par jour (moments de plaisir) devait être modifiée pour ne pas perdre les effets au bout de 15jours, en la faisant évoluer vers le fait de saluer plutôt des moments de valeur que des moments de plaisir. Sinon, il y a une sorte de frustration qui se dégage du bilan des moments de plaisir intense, qui induit une sorte de surenchère vers l’extraordinaire. Parce que des fois, il y a rien de « fabuleusement plaisant » dans une journée, mais il y a toujours des moments de valeur…
- C’est la 4ème semaine que je mesure. Cela allait en montant mais la semaine dernière il y a eu des contre-temps et je n’ai pas pu faire mes routines 3 jours dans la semaine dernière et du coup ça m’a manqué et j’étais de mauvaise humeur. C’était presque un contre effet…